Un temps d’échange convivial et bienveillant entre spectateur·rices, qui ne nécessite aucun bagage culturel spécifique ni fréquentation assidue des salles et qui invite à revenir sur la réception du spectacle pour en proposer une exploration et une lecture collectives.
Renouant avec la férocité des premières versions du conte, c’est sous l’angle de la danse que Sylvain Huc s’est emparé de cette histoire cent fois racontée, loin des préoccupations trop narratives, en droite ligne de la tradition orale et subversive des contes ancestraux. Une création pas que pour les enfants, entre peur et jeu, effroi et plaisir, aussi troublante que …