« La lumière qui se dégage des choses, il faut la fixer dans les mots avant qu’elle ne s’éteigne dans l’esprit ». Aurait dit Bashô l’un des grands poètes japonais, voilà 350 ans.
Autour de la table ou à l’écart, stylo ou tablette en main, chacun plonge dans le grand miroir étoilé par la fièvre créatrice. Le thème n’est qu’un prétexte. César un alibi.