Ça aurait pu être un épisode des Mystères de l’Ouest, c’est juste une énorme et sanguinolente ode aux dieux arvernes du métal, que l’on vénère le death, le black, le prog, le thrash, le hard, l’indus et autres chapelles ardemment défendues par des hordes chevelues. Ou pas. En tout cas, toujours cool, ouvertes à la découverte, curieuses, et follement éprises de musique tout court. La Nuit du Métal est de retour, et c’est chouette.