semaine du 9 décembre

"Britannicus" se suit comme une série: il y est question de pouvoir, de vengeance, d'amour, de trahisonL’empereur Claude a eu un fils avec Messaline, Britannicus, avant d’épouser Agrippine et d’adopter le fils qu’elle a eu d’un précédent mariage : Néron. Ce dernier succède à Claude et semble gouverner l’Empire avec sagesse. Britannicus est la quatrième grande tragédie de Racine. Pour la première fois, l’auteur prend son sujet dans l’histoire romaine en se focalisant sur l’instant précis où la vraie nature de Néron se révèle : sa passion subite pour Junie, amante de Britannicus, qui le pousse à se libérer de la domination d’Agrippine et à assassiner son propre frère. C’est dans l’intrication des enjeux politiques et des motifs passionnels que se trouve le coeur même de cette tragédie du pouvoir. La guerre pour l’accès au pouvoir, sans merci, dénature jusqu’à la relation entre un fils et sa mère. Britannicus, chef-d’oeuvre de la littérature et du théâtre français, continue de nous fasciner et de nous questionner autant pour ses thèmes universels que pour la maîtrise de Racine en matière d’écriture et de construction dramatique.
Pour cette pièce, Dominique Freydefont réunit un grand plateau de comédiens et comédiennes de différentes générations.

Durée du spectacle : 2h30 avec entracte

Texte : Jean Racine | Mise en scène : Dominique Freydefont | Lumières : Nicolas Masset | Décors et costumes : August Balth | Avec : Armando Alvès, Iris Calipel, Anne Gaydier, Lukas Gidel, Caty Jouglet, Thierry Robert, Solal Viala

"Britannicus" se suit comme une série: il y est question de pouvoir, de vengeance, d'amour, de trahisonL’empereur Claude a eu un fils avec Messaline, Britannicus, avant d’épouser Agrippine et d’adopter le fils qu’elle a eu d’un précédent mariage : Néron. Ce dernier succède à Claude et semble gouverner l’Empire avec sagesse. Britannicus est la quatrième grande tragédie de Racine. Pour la première fois, l’auteur prend son sujet dans l’histoire romaine en se focalisant sur l’instant précis où la vraie nature de Néron se révèle : sa passion subite pour Junie, amante de Britannicus, qui le pousse à se libérer de la domination d’Agrippine et à assassiner son propre frère. C’est dans l’intrication des enjeux politiques et des motifs passionnels que se trouve le coeur même de cette tragédie du pouvoir. La guerre pour l’accès au pouvoir, sans merci, dénature jusqu’à la relation entre un fils et sa mère. Britannicus, chef-d’oeuvre de la littérature et du théâtre français, continue de nous fasciner et de nous questionner autant pour ses thèmes universels que pour la maîtrise de Racine en matière d’écriture et de construction dramatique.
Pour cette pièce, Dominique Freydefont réunit un grand plateau de comédiens et comédiennes de différentes générations.

Durée du spectacle : 2h30 avec entracte

Texte : Jean Racine | Mise en scène : Dominique Freydefont | Lumières : Nicolas Masset | Décors et costumes : August Balth | Avec : Armando Alvès, Iris Calipel, Anne Gaydier, Lukas Gidel, Caty Jouglet, Thierry Robert, Solal Viala

Les poules sévadent pour voir Mérou

Attention, Lou Trotignon ne passe pas au Poulailler. Les Poules sévadent à la Baie des Singes à Cournon, pour aller le voir !
Si le mérou change de genre alors pourquoi pas Lou ? A sa naissance, sa famille et les médecins ont décrété que Lou serait une femme, et Lou n’est pas d’accord avec ça. Lou raconte avec humour son histoire personnelle de transition : de la prise de testostérone, en passant par le strip-tease jusqu’à la découverte du monde Queer. Lou fait ainsi écho à des questions devenues fondamentales : Sommes-nous obligé.e.s d’être ce qu’on nous a dit d’être? Peut-on ré-inventer son corps, son rapport à l’amour? Serait-il possible alors de ré-écrire sa propre histoire ?

RDV pour du covoiturage à 18 h 45 devant le Poulailler. On prévoit de manger quelque chose sur place avant le spectacle. Prix des places 19 euros.
Réservation nécessaire par mail à cecile@cabaretlepoulailler.fr avant le 1er décembre












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De la poésie nichée dans les petites choses jusqu’à la féerie du grand spectacle, rien ne peut nous faire oublier le Slava’s Snowshow. Tout à la fois magique et rocambolesque, démesuré et festif, ce monument de théâtre burlesque réunit une bande de clowns poètes qui viennent partager leurs péripéties et entraîner les spectateur·rices dans leurs jeux.

Depuis plus de 30 ans, le Slava’s Snowshow parcourt le monde entier avec un succès que rien ne semble pouvoir arrêter. Imaginés par un clown de génie, Slava Polunin, des personnages aux immenses chaussures rouges, aux bonnets à grandes oreilles et à l’imagination fertile nous font rire par leurs maladresses, nous émeuvent par leur fragilité, nous entraînent dans leur tendre mélancolie. À partir de saynètes minutieusement réglées, le plus souvent muettes, qui rappellent le meilleur de Charlie Chaplin, se crée un univers de tous les possibles. Et lorsqu’ils se retrouvent dans un moment de solitude et de questionnement sur l’absurdité de la vie, il y a du Gogol et du Beckett en eux. Rien n’arrête ces clowns fous qui ne cessent de nous surprendre dans cette épopée fantasque, usant d’effets scéniques époustouflants, pour transformer toute la salle du théâtre en un immense espace de fête où tous les délires sont permis. Dans leurs rêveries burlesques, ces clowns irrévérencieux nous ramènent à l’insouciance de l’enfance. Après avoir partagé le tourbillon du Slava’s Snowshow, on ne veut plus quitter ces clowns célestes et leur sarabande joyeuse.

De la poésie nichée dans les petites choses jusqu’à la féerie du grand spectacle, rien ne peut nous faire oublier le Slava’s Snowshow. Tout à la fois magique et rocambolesque, démesuré et festif, ce monument de théâtre burlesque réunit une bande de clowns poètes qui viennent partager leurs péripéties et entraîner les spectateur·rices dans leurs jeux.

Depuis plus de 30 ans, le Slava’s Snowshow parcourt le monde entier avec un succès que rien ne semble pouvoir arrêter. Imaginés par un clown de génie, Slava Polunin, des personnages aux immenses chaussures rouges, aux bonnets à grandes oreilles et à l’imagination fertile nous font rire par leurs maladresses, nous émeuvent par leur fragilité, nous entraînent dans leur tendre mélancolie. À partir de saynètes minutieusement réglées, le plus souvent muettes, qui rappellent le meilleur de Charlie Chaplin, se crée un univers de tous les possibles. Et lorsqu’ils se retrouvent dans un moment de solitude et de questionnement sur l’absurdité de la vie, il y a du Gogol et du Beckett en eux. Rien n’arrête ces clowns fous qui ne cessent de nous surprendre dans cette épopée fantasque, usant d’effets scéniques époustouflants, pour transformer toute la salle du théâtre en un immense espace de fête où tous les délires sont permis. Dans leurs rêveries burlesques, ces clowns irrévérencieux nous ramènent à l’insouciance de l’enfance. Après avoir partagé le tourbillon du Slava’s Snowshow, on ne veut plus quitter ces clowns célestes et leur sarabande joyeuse.

Théâtre musical
Un spectacle de Noël musical (mais pas que…)
En fouillant dans le garage de sa grand-mère, Isidore tombe sur un vieux congélateur. La porte s’ouvre et un drôle de personnage en sort. C’est Givrus Frigidov Glacioronovitch, un bonhomme de neige endormi là depuis bien longtemps !
Un bonhomme de neige ? Mais qu’est-ce que c’est la … neige ? Isidore n’en a jamais vu ! Il faut dire que nous sommes en 2065 et qu’il n’y a plus d’hivers depuis des années !
À travers des chansons et des histoires tantôt drôles, tantôt tendres, les personnages font (re)vivre la magie de l’hiver au fil d’un dialogue plein d’humour.
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Jeune Public et familial dès 4 ans
Durée : 45 min

Découverte du théâtre d'impro' au travers de jeux accessibles à tous.tes ! Le théâtre d'impro' apporte confiance en soi, développe l’imagination et facilite la prise de parole en public. Pas besoin d'avoir déjà fait du théâtre pour profiter pleinement du moment ! Cet atelier est ouvert à tous.te

Animé par Sandra

De la poésie nichée dans les petites choses jusqu’à la féerie du grand spectacle, rien ne peut nous faire oublier le Slava’s Snowshow. Tout à la fois magique et rocambolesque, démesuré et festif, ce monument de théâtre burlesque réunit une bande de clowns poètes qui viennent partager leurs péripéties et entraîner les spectateur·rices dans leurs jeux.

Depuis plus de 30 ans, le Slava’s Snowshow parcourt le monde entier avec un succès que rien ne semble pouvoir arrêter. Imaginés par un clown de génie, Slava Polunin, des personnages aux immenses chaussures rouges, aux bonnets à grandes oreilles et à l’imagination fertile nous font rire par leurs maladresses, nous émeuvent par leur fragilité, nous entraînent dans leur tendre mélancolie. À partir de saynètes minutieusement réglées, le plus souvent muettes, qui rappellent le meilleur de Charlie Chaplin, se crée un univers de tous les possibles. Et lorsqu’ils se retrouvent dans un moment de solitude et de questionnement sur l’absurdité de la vie, il y a du Gogol et du Beckett en eux. Rien n’arrête ces clowns fous qui ne cessent de nous surprendre dans cette épopée fantasque, usant d’effets scéniques époustouflants, pour transformer toute la salle du théâtre en un immense espace de fête où tous les délires sont permis. Dans leurs rêveries burlesques, ces clowns irrévérencieux nous ramènent à l’insouciance de l’enfance. Après avoir partagé le tourbillon du Slava’s Snowshow, on ne veut plus quitter ces clowns célestes et leur sarabande joyeuse.

De la poésie nichée dans les petites choses jusqu’à la féerie du grand spectacle, rien ne peut nous faire oublier le Slava’s Snowshow. Tout à la fois magique et rocambolesque, démesuré et festif, ce monument de théâtre burlesque réunit une bande de clowns poètes qui viennent partager leurs péripéties et entraîner les spectateur·rices dans leurs jeux.

Depuis plus de 30 ans, le Slava’s Snowshow parcourt le monde entier avec un succès que rien ne semble pouvoir arrêter. Imaginés par un clown de génie, Slava Polunin, des personnages aux immenses chaussures rouges, aux bonnets à grandes oreilles et à l’imagination fertile nous font rire par leurs maladresses, nous émeuvent par leur fragilité, nous entraînent dans leur tendre mélancolie. À partir de saynètes minutieusement réglées, le plus souvent muettes, qui rappellent le meilleur de Charlie Chaplin, se crée un univers de tous les possibles. Et lorsqu’ils se retrouvent dans un moment de solitude et de questionnement sur l’absurdité de la vie, il y a du Gogol et du Beckett en eux. Rien n’arrête ces clowns fous qui ne cessent de nous surprendre dans cette épopée fantasque, usant d’effets scéniques époustouflants, pour transformer toute la salle du théâtre en un immense espace de fête où tous les délires sont permis. Dans leurs rêveries burlesques, ces clowns irrévérencieux nous ramènent à l’insouciance de l’enfance. Après avoir partagé le tourbillon du Slava’s Snowshow, on ne veut plus quitter ces clowns célestes et leur sarabande joyeuse.