semaine du 10 mars

Exposition – Peinture acrylique
Jean-Luc Pianezzi a longtemps peint des paysages et des marines, inspirés par ses nombreux voyages. En 2016, il a intégré l’école Claude-Mouton à Chamalières, et depuis il aime jouer avec le cadre, la géométrie, les symboles et aussi la matière. Il peaufine, expérimente. Ostensiblement, son art évolue. « La peinture est la beauté de l’âme » aime-t-il à dire. Ses portraits féminins en témoignent, à leur façon.
Lorsqu’il peint, Jean-Luc Pianezzi retranscrit ses sentiments et raconte une histoire. Le peintre s’est lancé, depuis 2016, dans la réalisation d’une série de portraits féminins auxquels il donne des prénoms italiens, en lien à ses origines siciliennes. Sa peinture exprime la beauté de l’âme de ces femmes, tout droit sorties de son imagination.
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Vernissage : Mardi 04 mars à 18h30
Horaires d’ouverture de l’exposition :
– du Lundi au Vendredi de 09h à 12h et de 13h à 19h
– le Samedi de 10h à 12h et de 14h à 18h

Ne laissez pas votre imaginaire seul, et venez le partager autour de la lecture et l'écriture !

Animé par Yvain

Exposition – Peinture acrylique
Jean-Luc Pianezzi a longtemps peint des paysages et des marines, inspirés par ses nombreux voyages. En 2016, il a intégré l’école Claude-Mouton à Chamalières, et depuis il aime jouer avec le cadre, la géométrie, les symboles et aussi la matière. Il peaufine, expérimente. Ostensiblement, son art évolue. « La peinture est la beauté de l’âme » aime-t-il à dire. Ses portraits féminins en témoignent, à leur façon.
Lorsqu’il peint, Jean-Luc Pianezzi retranscrit ses sentiments et raconte une histoire. Le peintre s’est lancé, depuis 2016, dans la réalisation d’une série de portraits féminins auxquels il donne des prénoms italiens, en lien à ses origines siciliennes. Sa peinture exprime la beauté de l’âme de ces femmes, tout droit sorties de son imagination.
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Vernissage : Mardi 04 mars à 18h30
Horaires d’ouverture de l’exposition :
– du Lundi au Vendredi de 09h à 12h et de 13h à 19h
– le Samedi de 10h à 12h et de 14h à 18h

Sur inscription

Conversation en anglais dans la bonne humeur ! Animé par les participants.tes
Tous niveaux.

Exposition – Peinture acrylique
Jean-Luc Pianezzi a longtemps peint des paysages et des marines, inspirés par ses nombreux voyages. En 2016, il a intégré l’école Claude-Mouton à Chamalières, et depuis il aime jouer avec le cadre, la géométrie, les symboles et aussi la matière. Il peaufine, expérimente. Ostensiblement, son art évolue. « La peinture est la beauté de l’âme » aime-t-il à dire. Ses portraits féminins en témoignent, à leur façon.
Lorsqu’il peint, Jean-Luc Pianezzi retranscrit ses sentiments et raconte une histoire. Le peintre s’est lancé, depuis 2016, dans la réalisation d’une série de portraits féminins auxquels il donne des prénoms italiens, en lien à ses origines siciliennes. Sa peinture exprime la beauté de l’âme de ces femmes, tout droit sorties de son imagination.
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Vernissage : Mardi 04 mars à 18h30
Horaires d’ouverture de l’exposition :
– du Lundi au Vendredi de 09h à 12h et de 13h à 19h
– le Samedi de 10h à 12h et de 14h à 18h

Interprétation violonistico-verbeuse de l’histoire de la Bête du Gévaudan d’après le récit et les peintures de l’artiste Cévenol Gérard Lattier.​
« Quelque part dans les forêts du centre de la France, au milieu du XVIIIe siècle, une suite d’attaques mortelles accable les paysans : c’est la panique en Gévaudan, la trouillasse sur la montagne !Cette bête qui échappe aux armées du Roi, qui est-elle ? Un monstre fantastique, un chien dressé, un complot des uns et des autres ?Pour tenter d’y voir plus clair, deux colporteurs d’aujourd’hui, armés de leurs instruments à cordes, de leur bagou et d’une série de peintures édifiantes, livrent leur version des faits. Dans leurs bagages, ils charrient aussi des musiques répétées, déformées, réinterprétées, aux côtés des mots, des émotions et du verbe qui fut au commencement. »
L’équipe :
– violons, voix | Romain « Wilton » Maurel 
– violons, mandoline, voix | Simon Guy
– Regard dramaturgique | Jean-Luc Guitton et Robin Vargoz
– Peintures de Gérard Lattier

Cours collectif de Ukulélé, organisé par le club de Ukulélé de Clermont-Fd : Le BOUC.
Du/de la débutant·e qui veut découvrir l'instrument au ukuléliste dégourdi qui veut apprendre de nouvelles choses : soyez bienvenue !

Exposition – Peinture acrylique
Jean-Luc Pianezzi a longtemps peint des paysages et des marines, inspirés par ses nombreux voyages. En 2016, il a intégré l’école Claude-Mouton à Chamalières, et depuis il aime jouer avec le cadre, la géométrie, les symboles et aussi la matière. Il peaufine, expérimente. Ostensiblement, son art évolue. « La peinture est la beauté de l’âme » aime-t-il à dire. Ses portraits féminins en témoignent, à leur façon.
Lorsqu’il peint, Jean-Luc Pianezzi retranscrit ses sentiments et raconte une histoire. Le peintre s’est lancé, depuis 2016, dans la réalisation d’une série de portraits féminins auxquels il donne des prénoms italiens, en lien à ses origines siciliennes. Sa peinture exprime la beauté de l’âme de ces femmes, tout droit sorties de son imagination.
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Vernissage : Mardi 04 mars à 18h30
Horaires d’ouverture de l’exposition :
– du Lundi au Vendredi de 09h à 12h et de 13h à 19h
– le Samedi de 10h à 12h et de 14h à 18h

Venez et parlez français ! Débutant·es ou expérimentée·s, venez discuter en petits groupes, pour un enrichissement linguistique et culturel spontané !

Une traversée comique et une réflexion autour du premier roman moderne: Don QuichotteAu centre du plateau, une armure de bras cassés suspendue à une potence métallique rouillée. Deux comédiens s’équipent pour la bataille. À la main, un livre sacré : le manuel, de l’héroïsme. Ce soir, l’histoire n’est pas exactement celle de Cervantes et de son chevalier Don Quichotte, maudit par les enchanteurs et qui prend les moulins pour des géants. Mais celle de Don Chiquotte et de l’écuyer Poncho Sansa, qui se battent dans le vide, avec leurs propres fantômes, nés des illusions d’un monde patriarcal dans lequel ils errent.
Après la création du spectacle en théâtre de rue, la compagnie propose une nouvelle version pour la salle, invitant les spectateurs à une traversée comique et une réflexion autour de ce classique de la littérature considéré comme le premier roman moderne. Les deux protagonistes mènent l’enquête sur les constructions masculines à travers les époques et les différents âges de nos vies. En s’attaquant à la déconstruction du mythe chevaleresque et de ses valeurs, ils explorent et analysent l’influence des modèles virils, à l’oeuvre du temps de Cervantes comme au nôtre.

Texte et mise en scène : Samuel Cahu | Collaboration dramaturgie : Bertrand Festas | Musique : Mathias Berthod | Lumières : Corentin Froger | Avec : Samuel Cahu et Bertrand Festas

Une traversée comique et une réflexion autour du premier roman moderne: Don QuichotteAu centre du plateau, une armure de bras cassés suspendue à une potence métallique rouillée. Deux comédiens s’équipent pour la bataille. À la main, un livre sacré : le manuel, de l’héroïsme. Ce soir, l’histoire n’est pas exactement celle de Cervantes et de son chevalier Don Quichotte, maudit par les enchanteurs et qui prend les moulins pour des géants. Mais celle de Don Chiquotte et de l’écuyer Poncho Sansa, qui se battent dans le vide, avec leurs propres fantômes, nés des illusions d’un monde patriarcal dans lequel ils errent.
Après la création du spectacle en théâtre de rue, la compagnie propose une nouvelle version pour la salle, invitant les spectateurs à une traversée comique et une réflexion autour de ce classique de la littérature considéré comme le premier roman moderne. Les deux protagonistes mènent l’enquête sur les constructions masculines à travers les époques et les différents âges de nos vies. En s’attaquant à la déconstruction du mythe chevaleresque et de ses valeurs, ils explorent et analysent l’influence des modèles virils, à l’oeuvre du temps de Cervantes comme au nôtre.

Texte et mise en scène : Samuel Cahu | Collaboration dramaturgie : Bertrand Festas | Musique : Mathias Berthod | Lumières : Corentin Froger | Avec : Samuel Cahu et Bertrand Festas

Vous avez lu un livre qui vous a plu... ou pas ! Et vous avez envie de faire partager vos impressions...

Animé par les participant·es

Analyse et discussion d’ATTAC 63 avec les café-lecteur·rices autour d'un sujet d'actualité.

Puisqu’il n’existe pas de mot pour désigner « l’homme féminin », le chorégraphe Thomas Lebrun se saisit de la féminité masculine par la danse. Pièce chorégraphique splendide aux nuances sensibles et colorées, Sous les fleurs fait éclore un ailleurs d’un autre genre.

Comment définir la féminité d’un homme ? Alors que dans le monde occidental un idéal de virilité primaire domine les normes de genre, Thomas Lebrun est parti sur les traces de sociétés où les nuances du masculin au féminin sont tolérées. En particulier chez les Zapotèques du Mexique, où les pratiques et les cultures visuelles des Muxes permettent de penser un être homme-femme, loin du mythe d’Hermaphrodite. Fruit de ses recherches, Sous les fleurs réunit cinq danseurs dans un documentaire chorégraphique mêlant réalisme et onirisme. Au rythme des sonorités traditionnelles mexicaines ou d’un air de ballet revisité, une sororité masculine sort de l’ombre des tabous pour s’épanouir sur scène, enveloppée de couleurs douces et chatoyantes d’ici et d’ailleurs.

> ABONNEMENT PREMIUM pour 8 pièces de théâtre sur l’ensemble de la programmation vous bénéficiez d’un tarif exclusif réservé aux abonnés Prénium ! 
> ABONNEMENT LIBRE pour 3,4,5,6 ou 7 pièces de théâtre, cette formule vous permet à partir de 3 pièces, de bénéficier d’une réduction.
Appeler nous au Tel. : 04 73 62 79 00
Les Théâtrales 2024-2025
Une pièce de et mise en scène par Audrey SCHEBAT
Avec : Sophie MARCEAU et François BERLÉAND
Assistante mise en scène : Stéphanie FROELIGER
Scénographie : Jacques GABEL
Lumières : Laurent BÉAL assisté de Didier BRUN
Costumes : Ariane VIALLET
Musique : Ayten INAN
Son : Florent LIVET
PITCH
Après 12 ans d’absence, Sophie Marceau était de retour sur scène à la rentrée 2023 avec François Berléand au Théâtre des Bouffes Parisiens pour 90 représentations exceptionnelles, puis en tournée de janvier à avril 2025, pour un nombre de dates limité.
Tout quitter sans même laisser un mot d’adieu ? C’est ce que Julien a voulu faire et que Maud ne lui pardonne pas. Lui, psychanalyste célèbre et elle, pianiste mondialement reconnue, vont être contraints de faire le bilan de leur vie ainsi que celui de leur couple. Entre colère et drôlerie, leurs confessions intimes s’enchaînent comme une ultime tentative pour retrouver un sens à leurs vies. Une nuit pour se quitter ou s’aimer à nouveau. Une nuit pour réinventer leur destin.

Exposition – Peinture acrylique
Jean-Luc Pianezzi a longtemps peint des paysages et des marines, inspirés par ses nombreux voyages. En 2016, il a intégré l’école Claude-Mouton à Chamalières, et depuis il aime jouer avec le cadre, la géométrie, les symboles et aussi la matière. Il peaufine, expérimente. Ostensiblement, son art évolue. « La peinture est la beauté de l’âme » aime-t-il à dire. Ses portraits féminins en témoignent, à leur façon.
Lorsqu’il peint, Jean-Luc Pianezzi retranscrit ses sentiments et raconte une histoire. Le peintre s’est lancé, depuis 2016, dans la réalisation d’une série de portraits féminins auxquels il donne des prénoms italiens, en lien à ses origines siciliennes. Sa peinture exprime la beauté de l’âme de ces femmes, tout droit sorties de son imagination.
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Vernissage : Mardi 04 mars à 18h30
Horaires d’ouverture de l’exposition :
– du Lundi au Vendredi de 09h à 12h et de 13h à 19h
– le Samedi de 10h à 12h et de 14h à 18h

Venez parler espagnol avec Lidia !

Puisqu’il n’existe pas de mot pour désigner « l’homme féminin », le chorégraphe Thomas Lebrun se saisit de la féminité masculine par la danse. Pièce chorégraphique splendide aux nuances sensibles et colorées, Sous les fleurs fait éclore un ailleurs d’un autre genre.

Comment définir la féminité d’un homme ? Alors que dans le monde occidental un idéal de virilité primaire domine les normes de genre, Thomas Lebrun est parti sur les traces de sociétés où les nuances du masculin au féminin sont tolérées. En particulier chez les Zapotèques du Mexique, où les pratiques et les cultures visuelles des Muxes permettent de penser un être homme-femme, loin du mythe d’Hermaphrodite. Fruit de ses recherches, Sous les fleurs réunit cinq danseurs dans un documentaire chorégraphique mêlant réalisme et onirisme. Au rythme des sonorités traditionnelles mexicaines ou d’un air de ballet revisité, une sororité masculine sort de l’ombre des tabous pour s’épanouir sur scène, enveloppée de couleurs douces et chatoyantes d’ici et d’ailleurs.

Musique et Danse
Quand la musique traditionnelle rencontre les musiques actuelles : pour un moment à partager en famille
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Toss’n’Turn aurait pu être un simple groupe de musique irlandaise… C’était sans compter sur l’intense bouillonnement et l’éternelle insatisfaction de ses artistes qui ont très vite éjecté la formation hors des limites du traditionnellement correct.
Sampleurs, harmoniseurs, virtualiseurs, didgeridoo, violon ténor et percussions côtoient uilleann pipes, cistre et bodhran : les musiciens revisitent le répertoire, insufflent une touche très personnelle et assument sans complexes leur goût du risque et de la surenchère.
Deux danseurs de claquettes irlandaises se libèrent des codes imposés par les concours et les grands ensembles pour faire place à la complicité et à la sensualité, au fil de chorégraphies bondissantes, rythmées et aériennes.
Au fil du spectacle l’ambiance s’échauffe, la machine s’emballe et le public se trouve propulsé dans un tourbillon sonore et visuel à un rythme endiablé, une Irish machine indomptable !
Distribution :
Conçu et interprété par : Pierre Yvon
Mise en scène : Adrienne Ollé
Co-autrice, dramaturgie : Amandine Fluet
Création musicale et regard extérieur : Jonathan Aubart
Création scénographie et chorégraphie : Cléo Paquette
Création lumières : Kitty
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MEDIATION
Jeudi 13 Mars de 18h à 20h – Atelier de danse Tout Public animé par Emilie Malnuit
Gratuit, sur inscription au 04 73 88 18 88
À l’occasion de la Saint-Patrick, un atelier vous sera proposé au Tremplin et aura pour objectif de vous faire découvrir les bases des danses celtes. À vos agendas !

Vendredi 14 Mars – Atelier de danse pour les scolaires animé par Emilie Malnuit
Des ateliers découvertes de danses traditionnelles collectives seront proposés aux enfants des deux établissements scolaires de Beaumont.

« La construction du genre à travers le vêtement »

Exposition – Peinture acrylique
Jean-Luc Pianezzi a longtemps peint des paysages et des marines, inspirés par ses nombreux voyages. En 2016, il a intégré l’école Claude-Mouton à Chamalières, et depuis il aime jouer avec le cadre, la géométrie, les symboles et aussi la matière. Il peaufine, expérimente. Ostensiblement, son art évolue. « La peinture est la beauté de l’âme » aime-t-il à dire. Ses portraits féminins en témoignent, à leur façon.
Lorsqu’il peint, Jean-Luc Pianezzi retranscrit ses sentiments et raconte une histoire. Le peintre s’est lancé, depuis 2016, dans la réalisation d’une série de portraits féminins auxquels il donne des prénoms italiens, en lien à ses origines siciliennes. Sa peinture exprime la beauté de l’âme de ces femmes, tout droit sorties de son imagination.
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Vernissage : Mardi 04 mars à 18h30
Horaires d’ouverture de l’exposition :
– du Lundi au Vendredi de 09h à 12h et de 13h à 19h
– le Samedi de 10h à 12h et de 14h à 18h

Nouvelle Vague, le projet de reprises post-punk version bossa nova, fondé par Marc Collin et feu Olivier Libaux en 2003, est devenu un phénomène musical international au cours des deux dernières décennies. Initialement conçu comme un hommage unique, le premier album de Nouvelle Vague a connu un succès mondial inattendu. La fusion du post-punk mélancolique et de la bossa nova proposée par le groupe, associée à leur audacieuse approche de réinterprétation à la française, les distingue. Le nouvel album, inspiré par la performance de la chanteuse Alonya de Should I Stay Or Should I Go de The Clash, perpétue la tradition de Nouvelle Vague de réinventer des classiques. Il témoigne, là encore, de l’impact de l’héritage musical de Nouvelle Vague et de son intemporalité.

Origami : ou l’art du pliage.
Je vois nos destins comme des origamis qui se plient à des choix, des joies et des peines, des victoires et des échecs…
Pendant plus de 10 ans maintenant, je me suis plié en quatre pour essayer de vous plier en deux.
Je me demande quelle forme aurait pris mon origami, mon destin, si je n’avais pas plié bagage de ma ville natale…

Jeux d'écriture conviviaux jusque tard dans la nuit

Avec le collectif Les Plumards

« Dans la mythologie grecque, le Dragon est le protecteur des lieux sacrés et de leurs trésors : tant qu’il veille, aucune profanation n’est possible.
Dernier endroit où on peut encore rire de tout, la scène est mon sanctuaire. J’en suis le gardien. »
– Kheiron

Exposition – Peinture acrylique
Jean-Luc Pianezzi a longtemps peint des paysages et des marines, inspirés par ses nombreux voyages. En 2016, il a intégré l’école Claude-Mouton à Chamalières, et depuis il aime jouer avec le cadre, la géométrie, les symboles et aussi la matière. Il peaufine, expérimente. Ostensiblement, son art évolue. « La peinture est la beauté de l’âme » aime-t-il à dire. Ses portraits féminins en témoignent, à leur façon.
Lorsqu’il peint, Jean-Luc Pianezzi retranscrit ses sentiments et raconte une histoire. Le peintre s’est lancé, depuis 2016, dans la réalisation d’une série de portraits féminins auxquels il donne des prénoms italiens, en lien à ses origines siciliennes. Sa peinture exprime la beauté de l’âme de ces femmes, tout droit sorties de son imagination.
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Vernissage : Mardi 04 mars à 18h30
Horaires d’ouverture de l’exposition :
– du Lundi au Vendredi de 09h à 12h et de 13h à 19h
– le Samedi de 10h à 12h et de 14h à 18h

Évoquer le nom de Queen, c’est invoquer une légende. C’est revoir sur scène un Freddie Mercury iconique, dansant sous le martèlement d’une batterie et des riffs électriques que rien ne semblait pouvoir arrêter. C’est entendre la clameur des stades aux quatre coins du monde.
Le seul et unique concert validé et produit par les membres originels du groupe : Roger Taylor & Brian May.
Et le vide laissé par le groupe mythique de Londres est un gouffre. Tellement profond qu’il ressemble à des abysses qui auraient déjà englouti un nombre impressionnant de formations voulant faire renaître la ferveur, faire revivre des chansons qui font encore résonner toutes les têtes. Car c’est certain, n’est pas Queen qui veut.
Mais Queen Extravaganza ne fait pas parti de ces tribute band ordinaires. Non, il prend ses racines à la source, dans la volonté de Roger Taylor et de Brian May, musiciens du groupe légendaire, de faire résonner de nouveau leurs chansons sur scène. Ce sont ces derniers qui ont organisé une des auditions les plus hypées de l’histoire pour dénicher de jeunes talents à la hauteur du leur. Pour trouver des voix susceptibles de porter le message de Freddie Mercury, près de 30 ans après sa disparition, sans en produire une pâle copie.
Cinq musiciens et pas moins de quatre chanteurs dont Alirio Netto & Gareth Taylor en tête, ont tapé dans l’œil de l’ancien batteur qui produit lui-même le groupe. Charisme, énergie, passion, il n’en fallait pas moins pour rallumer la flamme d’un des groupes les plus populaires de l’histoire. Bohemian Rhapsody, Another One Bites the Dust, We Will Rock You, des chansons immortelles qui renaissent de leurs cendres dans des concerts explosifs et avec toute leur complexité vocale originelle. Un tour de force pour le groupe, qui nous fait définitivement penser que oui, The Show Must Go On !