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semaine du 24 mars

lundi 24

  • "Louves" de la cie RUGIR en résidence

    Sans catégorie "Louves" de la cie RUGIR en résidence

    Le Tremplin, Beaumont

    le 24 mars 2025

    La compagnie Grilladour est en résidence en préparation de son spectacle du 27 mars 2025
    Distribution :
    Mise-en-scène : Mélanie Nonnotte
    Assistanat Mise-en-scène : Laurène Lamaud & Do Cellou
    Dramaturgie : Louize Lavauzelle
    Interprétation : Clémence Bressolier & Margot Chevrel
    Création Lumière : Mélanie Nonnotte

mardi 25

  • "Louves" de la cie RUGIR en résidence

    Sans catégorie "Louves" de la cie RUGIR en résidence

    Le Tremplin, Beaumont

    le 25 mars 2025

    La compagnie Grilladour est en résidence en préparation de son spectacle du 27 mars 2025
    Distribution :
    Mise-en-scène : Mélanie Nonnotte
    Assistanat Mise-en-scène : Laurène Lamaud & Do Cellou
    Dramaturgie : Louize Lavauzelle
    Interprétation : Clémence Bressolier & Margot Chevrel
    Création Lumière : Mélanie Nonnotte

mercredi 26

  • "Louves" de la cie RUGIR en résidence

    Sans catégorie "Louves" de la cie RUGIR en résidence

    Le Tremplin, Beaumont

    le 26 mars 2025

    La compagnie Grilladour est en résidence en préparation de son spectacle du 27 mars 2025
    Distribution :
    Mise-en-scène : Mélanie Nonnotte
    Assistanat Mise-en-scène : Laurène Lamaud & Do Cellou
    Dramaturgie : Louize Lavauzelle
    Interprétation : Clémence Bressolier & Margot Chevrel
    Création Lumière : Mélanie Nonnotte

  • 09:00 Atelier CV et LM par éclair d'auvergne

    Sans catégorie Atelier CV et LM par éclair d'auvergne

    Trait d'Union, Clermont-Ferrand

    le 26 mars 2025 de 09:00 jusqu'à 12:00

  • 20:00 Guintche (live version)

    Sans catégorie Guintche (live version)

    La Comédie de Clermont, Clermont-Ferrand

    le 26 mars 2025 à 20:00

    Sourire de joker dessiné au rouge à lèvres, paupières peinturlurées de bleu, grimace carnassière, la performeuse Marlene Monteiro Freitas est une clown en constante mutation. Avec ce solo à la beauté sulfureuse, l’artiste à la quintessence de son art électrise la scène et offre une danse charnelle, grotesque, pleine de paradoxes anatomiques.

    Oiseau, prostituée, ou attitude – celle de passer d’une chose à une autre sans chercher de cohérence ? Le sens du terme créole « guintche » est multiple, comme chaque mouvement de l’artiste cap-verdienne. Loin d’effrayer l’artiste fantasque, la polysémie du parler créole lui inspire des métamorphoses fiévreuses. Lèvres rouges et eye-liner outrancier, en costume de gymnaste et plumes violettes autour de la taille, Marlene Monteiro Freitas aime les paradoxes. Si les mouvements des hanches sont frénétiques, que les mains gantées s’agitent comme celles d’un mime ou les jambes comme les pattes d’un oiseau, c’est surtout le visage qui danse, enchaînant les moues et les rictus. Comme un jazzman, sur le flow de deux batteries jouées en live par les musiciens Henri « Cookie » Lesguillier et Simon Lacouture, l’artiste invente une chorégraphie carnavalesque repoussant les limites du grotesque. Et s’il y avait du beau dans le ridicule ? Mieux encore, et s’il y avait de la puissance ?

jeudi 27

  • 20:00 Guintche (live version)

    Sans catégorie Guintche (live version)

    La Comédie de Clermont, Clermont-Ferrand

    le 27 mars 2025 à 20:00

    Sourire de joker dessiné au rouge à lèvres, paupières peinturlurées de bleu, grimace carnassière, la performeuse Marlene Monteiro Freitas est une clown en constante mutation. Avec ce solo à la beauté sulfureuse, l’artiste à la quintessence de son art électrise la scène et offre une danse charnelle, grotesque, pleine de paradoxes anatomiques.

    Oiseau, prostituée, ou attitude – celle de passer d’une chose à une autre sans chercher de cohérence ? Le sens du terme créole « guintche » est multiple, comme chaque mouvement de l’artiste cap-verdienne. Loin d’effrayer l’artiste fantasque, la polysémie du parler créole lui inspire des métamorphoses fiévreuses. Lèvres rouges et eye-liner outrancier, en costume de gymnaste et plumes violettes autour de la taille, Marlene Monteiro Freitas aime les paradoxes. Si les mouvements des hanches sont frénétiques, que les mains gantées s’agitent comme celles d’un mime ou les jambes comme les pattes d’un oiseau, c’est surtout le visage qui danse, enchaînant les moues et les rictus. Comme un jazzman, sur le flow de deux batteries jouées en live par les musiciens Henri « Cookie » Lesguillier et Simon Lacouture, l’artiste invente une chorégraphie carnavalesque repoussant les limites du grotesque. Et s’il y avait du beau dans le ridicule ? Mieux encore, et s’il y avait de la puissance ?