semaine du 24 mars

Une adaptation saisissante du Journal de Jean-Luc Lagarce (montage d’extraits tirés des Tome 1 de 1977-1990 et Tome 2 de 1990-1995) nous plongeant dans les pensées profondes et les sentiments de l’un des plus grands dramaturges contemporains.
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Coréalisé avec Sémaphore, scène conventionnée d’intérêt national Art et création de Cébazat

Comment annoncer sa mort imminente à ses proches, qui plus est, après des années de distance et d’absence ? L’initiative de Louis, interprété par Vincent Dedienne, atteint d’une maladie incurable, ouvre la porte aux cohortes de non-dits qui ont cimenté la famille jusqu’à présent.

Louis est malade. Il va mourir. Après des années d’absence, il profite d’un dimanche où toute la famille se réunit pour débarquer au domicile parental et annoncer la nouvelle. Mais à l’épreuve du terrain, les mots manquent, ses dons littéraires se font la malle, les rancœurs, les regrets et les incompréhensions pèsent dans l’atmosphère sans jamais être nommés. Tous tentent de sauvegarder les apparences d’un traditionnel rendez-vous dominical mais aussi de comprendre les liens qui les unissent malgré les oppositions entre lui, l’aîné, le citadin voyageur, l’écrivain sans attache et sa mère, sa sœur, son frère et sa belle-sœur, les sédentaires accroché·es à leurs racines provinciales. Il n’y a pas que la mort qui soit indicible. Johanny Bert adapte la célèbre pièce de Jean-Luc Lagarce sur une scène à l’aura fantomatique où erre le défunt Pater familias. Sous une cinquantaine d’objets du quotidien en suspension, qui racontent les mémoires enfouies des générations et les évolutions sociétales, les personnages se confrontent à huis clos à l’insondable expressivité du silence.
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Coréalisé avec Sémaphore, scène conventionnée d’intérêt national Art et création de Cébazat

Une adaptation saisissante du Journal de Jean-Luc Lagarce (montage d’extraits tirés des Tome 1 de 1977-1990 et Tome 2 de 1990-1995) nous plongeant dans les pensées profondes et les sentiments de l’un des plus grands dramaturges contemporains.
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Coréalisé avec Sémaphore, scène conventionnée d’intérêt national Art et création de Cébazat

Comment annoncer sa mort imminente à ses proches, qui plus est, après des années de distance et d’absence ? L’initiative de Louis, interprété par Vincent Dedienne, atteint d’une maladie incurable, ouvre la porte aux cohortes de non-dits qui ont cimenté la famille jusqu’à présent.

Louis est malade. Il va mourir. Après des années d’absence, il profite d’un dimanche où toute la famille se réunit pour débarquer au domicile parental et annoncer la nouvelle. Mais à l’épreuve du terrain, les mots manquent, ses dons littéraires se font la malle, les rancœurs, les regrets et les incompréhensions pèsent dans l’atmosphère sans jamais être nommés. Tous tentent de sauvegarder les apparences d’un traditionnel rendez-vous dominical mais aussi de comprendre les liens qui les unissent malgré les oppositions entre lui, l’aîné, le citadin voyageur, l’écrivain sans attache et sa mère, sa sœur, son frère et sa belle-sœur, les sédentaires accroché·es à leurs racines provinciales. Il n’y a pas que la mort qui soit indicible. Johanny Bert adapte la célèbre pièce de Jean-Luc Lagarce sur une scène à l’aura fantomatique où erre le défunt Pater familias. Sous une cinquantaine d’objets du quotidien en suspension, qui racontent les mémoires enfouies des générations et les évolutions sociétales, les personnages se confrontent à huis clos à l’insondable expressivité du silence.
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Coréalisé avec Sémaphore, scène conventionnée d’intérêt national Art et création de Cébazat

Une adaptation saisissante du Journal de Jean-Luc Lagarce (montage d’extraits tirés des Tome 1 de 1977-1990 et Tome 2 de 1990-1995) nous plongeant dans les pensées profondes et les sentiments de l’un des plus grands dramaturges contemporains.
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Coréalisé avec Sémaphore, scène conventionnée d’intérêt national Art et création de Cébazat

Comment annoncer sa mort imminente à ses proches, qui plus est, après des années de distance et d’absence ? L’initiative de Louis, interprété par Vincent Dedienne, atteint d’une maladie incurable, ouvre la porte aux cohortes de non-dits qui ont cimenté la famille jusqu’à présent.

Louis est malade. Il va mourir. Après des années d’absence, il profite d’un dimanche où toute la famille se réunit pour débarquer au domicile parental et annoncer la nouvelle. Mais à l’épreuve du terrain, les mots manquent, ses dons littéraires se font la malle, les rancœurs, les regrets et les incompréhensions pèsent dans l’atmosphère sans jamais être nommés. Tous tentent de sauvegarder les apparences d’un traditionnel rendez-vous dominical mais aussi de comprendre les liens qui les unissent malgré les oppositions entre lui, l’aîné, le citadin voyageur, l’écrivain sans attache et sa mère, sa sœur, son frère et sa belle-sœur, les sédentaires accroché·es à leurs racines provinciales. Il n’y a pas que la mort qui soit indicible. Johanny Bert adapte la célèbre pièce de Jean-Luc Lagarce sur une scène à l’aura fantomatique où erre le défunt Pater familias. Sous une cinquantaine d’objets du quotidien en suspension, qui racontent les mémoires enfouies des générations et les évolutions sociétales, les personnages se confrontent à huis clos à l’insondable expressivité du silence.
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Coréalisé avec Sémaphore, scène conventionnée d’intérêt national Art et création de Cébazat

Théâtre – récit – 1 h 15 – Tout public à partir de 12 ans
Dans ce récit, Lilian Derruau relie son vécu de « gosse de prolo » aux idées du sociologue Pierre Bourdieu.
Ne se contentant pas de raconter les souvenirs de cette prime enfance, il dépeint cette France ouvrière des années 70 dans un texte où truculence et autodérision vont de pair.
Longtemps chanteur à tendance drôle sous le nom de Wally, on le retrouve ici dans un tout autre registre : le récit sociologique, mais à sa manière, celle qui suscite le rire avec une pointe de poésie et un paquet d’émotions.
Une époque d’insouciance, puis de prise de conscience d’une forme de prédestination sociale dont il est bien difficile de sortir.
Toujours touchant, Wally nous raconte. Se raconte avec humour et autodérision. Avec tendresse. Avec pudeur. Toujours un sourire au coin de l’œil.