Romeo Castellucci, ponte d’un théâtre moderne et crypté, s’empare du classique des classiques, Bérénice de Jean Racine. Dans le rôle-titre, Isabelle Huppert défie les lois de la tragédie, seule parmi des apparitions sibyllines. Une relecture radicale, ouverte aux interprétations les plus libres.
« Que le jour recommence et que le jour finisse. Sans que jamais Titus puisse voir Bérénice. » …