semaine du 10 mars

Une traversée comique et une réflexion autour du premier roman moderne: Don QuichotteAu centre du plateau, une armure de bras cassés suspendue à une potence métallique rouillée. Deux comédiens s’équipent pour la bataille. À la main, un livre sacré : le manuel, de l’héroïsme. Ce soir, l’histoire n’est pas exactement celle de Cervantes et de son chevalier Don Quichotte, maudit par les enchanteurs et qui prend les moulins pour des géants. Mais celle de Don Chiquotte et de l’écuyer Poncho Sansa, qui se battent dans le vide, avec leurs propres fantômes, nés des illusions d’un monde patriarcal dans lequel ils errent.
Après la création du spectacle en théâtre de rue, la compagnie propose une nouvelle version pour la salle, invitant les spectateurs à une traversée comique et une réflexion autour de ce classique de la littérature considéré comme le premier roman moderne. Les deux protagonistes mènent l’enquête sur les constructions masculines à travers les époques et les différents âges de nos vies. En s’attaquant à la déconstruction du mythe chevaleresque et de ses valeurs, ils explorent et analysent l’influence des modèles virils, à l’oeuvre du temps de Cervantes comme au nôtre.

Texte et mise en scène : Samuel Cahu | Collaboration dramaturgie : Bertrand Festas | Musique : Mathias Berthod | Lumières : Corentin Froger | Avec : Samuel Cahu et Bertrand Festas

Une traversée comique et une réflexion autour du premier roman moderne: Don QuichotteAu centre du plateau, une armure de bras cassés suspendue à une potence métallique rouillée. Deux comédiens s’équipent pour la bataille. À la main, un livre sacré : le manuel, de l’héroïsme. Ce soir, l’histoire n’est pas exactement celle de Cervantes et de son chevalier Don Quichotte, maudit par les enchanteurs et qui prend les moulins pour des géants. Mais celle de Don Chiquotte et de l’écuyer Poncho Sansa, qui se battent dans le vide, avec leurs propres fantômes, nés des illusions d’un monde patriarcal dans lequel ils errent.
Après la création du spectacle en théâtre de rue, la compagnie propose une nouvelle version pour la salle, invitant les spectateurs à une traversée comique et une réflexion autour de ce classique de la littérature considéré comme le premier roman moderne. Les deux protagonistes mènent l’enquête sur les constructions masculines à travers les époques et les différents âges de nos vies. En s’attaquant à la déconstruction du mythe chevaleresque et de ses valeurs, ils explorent et analysent l’influence des modèles virils, à l’oeuvre du temps de Cervantes comme au nôtre.

Texte et mise en scène : Samuel Cahu | Collaboration dramaturgie : Bertrand Festas | Musique : Mathias Berthod | Lumières : Corentin Froger | Avec : Samuel Cahu et Bertrand Festas

Puisqu’il n’existe pas de mot pour désigner « l’homme féminin », le chorégraphe Thomas Lebrun se saisit de la féminité masculine par la danse. Pièce chorégraphique splendide aux nuances sensibles et colorées, Sous les fleurs fait éclore un ailleurs d’un autre genre.

Comment définir la féminité d’un homme ? Alors que dans le monde occidental un idéal de virilité primaire domine les normes de genre, Thomas Lebrun est parti sur les traces de sociétés où les nuances du masculin au féminin sont tolérées. En particulier chez les Zapotèques du Mexique, où les pratiques et les cultures visuelles des Muxes permettent de penser un être homme-femme, loin du mythe d’Hermaphrodite. Fruit de ses recherches, Sous les fleurs réunit cinq danseurs dans un documentaire chorégraphique mêlant réalisme et onirisme. Au rythme des sonorités traditionnelles mexicaines ou d’un air de ballet revisité, une sororité masculine sort de l’ombre des tabous pour s’épanouir sur scène, enveloppée de couleurs douces et chatoyantes d’ici et d’ailleurs.

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Les Théâtrales 2024-2025
Une pièce de et mise en scène par Audrey SCHEBAT
Avec : Sophie MARCEAU et François BERLÉAND
Assistante mise en scène : Stéphanie FROELIGER
Scénographie : Jacques GABEL
Lumières : Laurent BÉAL assisté de Didier BRUN
Costumes : Ariane VIALLET
Musique : Ayten INAN
Son : Florent LIVET
PITCH
Après 12 ans d’absence, Sophie Marceau était de retour sur scène à la rentrée 2023 avec François Berléand au Théâtre des Bouffes Parisiens pour 90 représentations exceptionnelles, puis en tournée de janvier à avril 2025, pour un nombre de dates limité.
Tout quitter sans même laisser un mot d’adieu ? C’est ce que Julien a voulu faire et que Maud ne lui pardonne pas. Lui, psychanalyste célèbre et elle, pianiste mondialement reconnue, vont être contraints de faire le bilan de leur vie ainsi que celui de leur couple. Entre colère et drôlerie, leurs confessions intimes s’enchaînent comme une ultime tentative pour retrouver un sens à leurs vies. Une nuit pour se quitter ou s’aimer à nouveau. Une nuit pour réinventer leur destin.

Puisqu’il n’existe pas de mot pour désigner « l’homme féminin », le chorégraphe Thomas Lebrun se saisit de la féminité masculine par la danse. Pièce chorégraphique splendide aux nuances sensibles et colorées, Sous les fleurs fait éclore un ailleurs d’un autre genre.

Comment définir la féminité d’un homme ? Alors que dans le monde occidental un idéal de virilité primaire domine les normes de genre, Thomas Lebrun est parti sur les traces de sociétés où les nuances du masculin au féminin sont tolérées. En particulier chez les Zapotèques du Mexique, où les pratiques et les cultures visuelles des Muxes permettent de penser un être homme-femme, loin du mythe d’Hermaphrodite. Fruit de ses recherches, Sous les fleurs réunit cinq danseurs dans un documentaire chorégraphique mêlant réalisme et onirisme. Au rythme des sonorités traditionnelles mexicaines ou d’un air de ballet revisité, une sororité masculine sort de l’ombre des tabous pour s’épanouir sur scène, enveloppée de couleurs douces et chatoyantes d’ici et d’ailleurs.

Origami : ou l’art du pliage.
Je vois nos destins comme des origamis qui se plient à des choix, des joies et des peines, des victoires et des échecs…
Pendant plus de 10 ans maintenant, je me suis plié en quatre pour essayer de vous plier en deux.
Je me demande quelle forme aurait pris mon origami, mon destin, si je n’avais pas plié bagage de ma ville natale…

« Dans la mythologie grecque, le Dragon est le protecteur des lieux sacrés et de leurs trésors : tant qu’il veille, aucune profanation n’est possible.
Dernier endroit où on peut encore rire de tout, la scène est mon sanctuaire. J’en suis le gardien. »
– Kheiron