semaine du 6 janvier

Ne laissez pas votre imaginaire seul, et venez le partager autour de la lecture et l'écriture !

Animé par Yvain

Conversation en anglais dans la bonne humeur ! Animé par les participants.tes
Tous niveaux.

Mardi 07 janvier, 20h33, entrée libre

Nos 1 000 premiers jours
Ils sont essentiels !
Cette période, qui s’étend du début de la grossesse jusqu’aux 2 ans de l’enfant, est déterminante, vitale et unique pour le reste de notre vie, influençant tous les aspects : comportement, apprentissage, relations affectives, parcours professionnel, performances sportives, interactions sociales…
Pour que le cerveau d’un bébé se développe harmonieusement, il a besoin de stimulations positives :

Interactions avec le monde et avec d’autres personnes
Découverte de sons, odeurs, objets
Imagination et sommeil
Regards et affection

Saviez-vous qu’à la naissance, le cerveau crée environ 10 millions de connexions inter-neuronales chaque seconde ?
Mais qu’en est-il des expériences négatives, de la maltraitance sous toutes ses formes, même inconsciente ? Comment peuvent-elles être atténuées, compensées, réparées ?
Un sujet crucial, abordé dans ce Bar des Sciences, pour mieux comprendre l’impact de ces premiers jours.

Immatérielle, la lumière ? Pas pour la chorégraphe Vania Vaneau, qui en fait la cheffe d’orchestre de sa création pour quatre interprètes. Filant la métaphore solaire, les corps humains incarnent la multitude des phénomènes physiques rendus possibles par la lumière.

Dans le jargon astrophysique, l’héliosphère est le nom donné à la couche de gaz qui enveloppe le soleil. À l’image de cette bulle invisible, dont la forme varie selon les rotations, les déplacements et les activités magnétiques de l’astre solaire, Heliosfera expose quatre interprètes aux phénomènes lumineux. Entre danse et arts visuels, Vania Vaneau, chorégraphe des transformations, fait ici de la lumière la substance essentielle et première de son processus créatif. Passant de l’utopie à la dystopie, la scène donne forme aux vertus de la photosynthèse comme aux risques mortels d’une surexposition. Devenus flammes crépitantes dans l’obscurité d’une grotte, floraison de champignons phosphorescents ou incarnation même de la n du jour, les corps qui portent Heliosfera sur une musique live livrent une délicate leçon de physique où l’humain·e n’est plus le centre du monde.

Cours collectif de Ukulélé, organisé par le club de Ukulélé de Clermont-Fd : Le BOUC.
Du/de la débutant·e qui veut découvrir l'instrument au ukuléliste dégourdi qui veut apprendre de nouvelles choses : soyez bienvenue !

Venez et parlez français ! Débutant·es ou expérimentée·s, venez discuter en petits groupes, pour un enrichissement linguistique et culturel spontané !

Vous avez lu un livre qui vous a plu... ou pas ! Et vous avez envie de faire partager vos impressions...

Animé par les participant·es

Analyse et discussion d’ATTAC 63 avec les café-lecteur·rices autour d'un sujet d'actualité.

Ateliers d’initiation aux danses de bal auvergnat
 

Le premier atelier d’initiation aux danses de bal a déjà lieu au Gamounet à Saint-Bonnet près Riom chez les Brayauds !

Rendez-vous jeudi 09 janvier 2025, de 20h à 21h30, pour le quatrième atelier d'initiation aux danses de bal auvergnats au Gamounet !

L’atelier est ouvert à tous les niveaux et toujours au tarif de 5 euros sans inscription préalable.

Chaque atelier aura des thématiques variées : marcher, sautiller, tourner, guider – être guidé.e, co-guider, la danse collective, écouter la musique… et bien d’autres !

Cette année, nous serons accompagnés de vrais musiciens et musiciennes ( oui oui !), chanteur.euses et intervenant.es en danse, qui viendront transmettre leurs savoirs, leurs astuces ; tout cela dans la bonne humeur et la joie de danser, de partager et s’amuser dans les bals !
On vous attend !
Où ? Au Gamounet, 40 rue de la République 63200 Saint Bonnet-près-Riom
(la salle de bal se trouve au fond d’une impasse, par conséquent merci de vous garer sur le parking de l’église ou de l’école et de continuer à pied)
~
Participation demandée : 5 euros par personne et par atelier
Au plaisir de vous accueillir au Gamounet !

Ateliers d’initiation aux danses de bal auvergnat
 

Le premier atelier d’initiation aux danses de bal a déjà lieu au Gamounet à Saint-Bonnet près Riom chez les Brayauds !

Rendez-vous jeudi 09 janvier 2025, de 20h à 21h30, pour le quatrième atelier d'initiation aux danses de bal auvergnats au Gamounet !

L’atelier est ouvert à tous les niveaux et toujours au tarif de 5 euros sans inscription préalable.

Chaque atelier aura des thématiques variées : marcher, sautiller, tourner, guider – être guidé.e, co-guider, la danse collective, écouter la musique… et bien d’autres !

Cette année, nous serons accompagnés de vrais musiciens et musiciennes ( oui oui !), chanteur.euses et intervenant.es en danse, qui viendront transmettre leurs savoirs, leurs astuces ; tout cela dans la bonne humeur et la joie de danser, de partager et s’amuser dans les bals !
On vous attend !
Où ? Au Gamounet, 40 rue de la République 63200 Saint Bonnet-près-Riom
(la salle de bal se trouve au fond d’une impasse, par conséquent merci de vous garer sur le parking de l’église ou de l’école et de continuer à pied)
~
Participation demandée : 5 euros par personne et par atelier
Au plaisir de vous accueillir au Gamounet !

Immatérielle, la lumière ? Pas pour la chorégraphe Vania Vaneau, qui en fait la cheffe d’orchestre de sa création pour quatre interprètes. Filant la métaphore solaire, les corps humains incarnent la multitude des phénomènes physiques rendus possibles par la lumière.

Dans le jargon astrophysique, l’héliosphère est le nom donné à la couche de gaz qui enveloppe le soleil. À l’image de cette bulle invisible, dont la forme varie selon les rotations, les déplacements et les activités magnétiques de l’astre solaire, Heliosfera expose quatre interprètes aux phénomènes lumineux. Entre danse et arts visuels, Vania Vaneau, chorégraphe des transformations, fait ici de la lumière la substance essentielle et première de son processus créatif. Passant de l’utopie à la dystopie, la scène donne forme aux vertus de la photosynthèse comme aux risques mortels d’une surexposition. Devenus flammes crépitantes dans l’obscurité d’une grotte, floraison de champignons phosphorescents ou incarnation même de la n du jour, les corps qui portent Heliosfera sur une musique live livrent une délicate leçon de physique où l’humain·e n’est plus le centre du monde.

Venez parler espagnol avec Lidia !

Animé par Adam.

Figure majeure du continent africain et du reggae, auréolé de plusieurs disques d’or et des Victoires de la Musique, Tiken Jah Fakoly s’impose aujourd’hui comme un artiste majeur et mondialement reconnu.
Rassemblant des centaines de milliers de spectateurs lors de ses concerts en Afrique, il est célèbre pour ses prestations scéniques explosives et a joué dans tous les festivals majeurs en France, en Europe et au Canada.
En 2024 Tiken Jah Fakoly revient avec un nouvel album et une tournée inédite en acoustique. Entouré de musiciens traditionnels d’Afrique de l’Ouest l’artiste revisite ses 25 ans de répertoire dont ses plus grands hits.

Vendredi 10 janvier – 20h33
TP: 22€, TR: 19€, TA: 17€
Dans sa nouvelle création, Le Cabaret de la Méduse, la troupe du burlesque Klub propose un show d’effeuillage burlesque, glamour, drôle et fantaisiste, quelque-part entre l’univers de Jules Verne et les films de série B.
Des créatures aussi loufoques que séductrices, jouent de leurs formes avec glamour et second degré dans une aventure digne des plus grands nanars fantastiques.
Le Cabaret de la Méduse, c’est un peu Vingt Mille Lieues Sous Les Mers croisé avec L’Attaque de la Femme de 50 pieds, le tout saupoudré de plumes et de paillettes

Découverte du théâtre d'impro' au travers de jeux accessibles à tous.tes ! Le théâtre d'impro' apporte confiance en soi, développe l’imagination et facilite la prise de parole en public. Pas besoin d'avoir déjà fait du théâtre pour profiter pleinement du moment ! Cet atelier est ouvert à tous.te

Animé par Sandra

Apéro-discussion au PopCorner
30 minutes ensemble avec quelques popcorns à grignoter pour échanger avant la représentation. Une mise en bouche du spectacle que vous vous apprêtez à voir : idées pour accompagner votre regard, astuces et questionnements pour vivre autrement l’expérience de la représentation.

Romeo Castellucci, ponte d’un théâtre moderne et crypté, s’empare du classique des classiques, Bérénice de Jean Racine. Dans le rôle-titre, Isabelle Huppert défie les lois de la tragédie, seule parmi des apparitions sibyllines. Une relecture radicale, ouverte aux interprétations les plus libres.

« Que le jour recommence et que le jour finisse. Sans que jamais Titus puisse voir Bérénice. » Comment résonnent les vers de Racine aujourd’hui ? À travers tous nos sens, suggère Romeo Castellucci. Le metteur en scène italien se concentre sur les célèbres monologues de l’héroïne tragique dont il trouble délibérément notre compréhension. Pour lui, les passions raciniennes se déchaînent ailleurs, dans des visions oniriques et des atmosphères dont il a le secret. À rebours d’une adaptation fidèle, ce maître des images brode un poème visuel autour de cette tragédie de la séparation, de l’amour et du langage. Une telle expérience esthétique nécessitait une comédienne solide, rodée aux innovations formelles. Ce sera Isabelle Huppert, qui engage ici jusqu’à sa figure d’icône artistique. À travers elle, les foudres du tragique débordent du texte pour se nicher dans les énigmes plastiques et sonores dont regorge ce Bérénice d’un autre genre.

Zamdane a trouvé sa couleur, et son rythme. Le natif de Marrakech, installé à Marseille depuis 2016, défend depuis deux ans un premier album acclamé, « Couleur de ma peine », dans lequel il pose ce qu’il a sur le cœur sans ne jamais rien retenir. Teasé depuis un an, son nouvel album “SOLSAD” se révèle être le projet de la consécration. Après l’avoir présenté en mai dernier dans deux Olympia à guichets fermés, suivis des festivals les plus prestigieux cet été, Zamdane entame désormais une tournée dans toute la France et les grandes capitales francophones.

Samedi 11 janvier-20h08
TP :15€ ,TR :12 €,TA: 10€
Tryptik ProjektC’est l’espace de convergence musical de trois frères, qui développent un jazz actuel énergique aux sonorités World-électro sur fond de créations vidéos.​ Ce trio mêle les timbres épurés et classiques de leurs instruments avec les machines d’aujourd’hui. Leur exploration sonore et visuelle plonge l’auditeur entre ambiances aériennes et grooves puissants et entêtants, à la recherche constante de la fusion harmonique et rythmique. Les frères expérimentent la matière, mixent les ondes, jouent avec les sons.

Tom Couineau:batterie
Valentin Couineau:basse
Clément Couineau:vibraphone, marimba

Alban Ivanov poursuit sa tournée des Zéniths en 2025 avec son spectacle « Vedette 2.0 »

Stain est un quatuor - cuvée 2023 - composé de musiciens expérimentés sur la scène clermontoise qui ont décidé de s’associer pour proposer leur vision du rock : âpre et âcre.
Jim, batteur et chanteur (Super Candy, Hells Strippers), Mika, bassiste et chanteur (Volatile) Géraud et Clem, duo de guitaristes (Zed Is Dead), vendangent les fruits d’un travail passionné et authentique en partageant l’énergie de morceaux puissants : une musique frontale, avec une attaque franche, mais empreinte de subtilités rythmiques et mélodiques.

Un assemblage d’influences qui tâchent telles que Led Zep, Queens Of The Stone Age ou encore Nirvana…

➝ Concert de fin de résidence

Crédit photo : ©Dubuis

Avec la troupe Lave en Scène - Les 2ième samedi du mois (oct. à juin)

Cabarets mêlant humour et aventure, ou pièces de théâtre improvisées : venez-vous laisser emporter et partagez un moment magique où les histoires se créeront sous vos yeux et avec vos mots !

Apéro-discussion au PopCorner
30 minutes ensemble avec quelques popcorns à grignoter pour échanger avant la représentation. Une mise en bouche du spectacle que vous vous apprêtez à voir : idées pour accompagner votre regard, astuces et questionnements pour vivre autrement l’expérience de la représentation.

Romeo Castellucci, ponte d’un théâtre moderne et crypté, s’empare du classique des classiques, Bérénice de Jean Racine. Dans le rôle-titre, Isabelle Huppert défie les lois de la tragédie, seule parmi des apparitions sibyllines. Une relecture radicale, ouverte aux interprétations les plus libres.

« Que le jour recommence et que le jour finisse. Sans que jamais Titus puisse voir Bérénice. » Comment résonnent les vers de Racine aujourd’hui ? À travers tous nos sens, suggère Romeo Castellucci. Le metteur en scène italien se concentre sur les célèbres monologues de l’héroïne tragique dont il trouble délibérément notre compréhension. Pour lui, les passions raciniennes se déchaînent ailleurs, dans des visions oniriques et des atmosphères dont il a le secret. À rebours d’une adaptation fidèle, ce maître des images brode un poème visuel autour de cette tragédie de la séparation, de l’amour et du langage. Une telle expérience esthétique nécessitait une comédienne solide, rodée aux innovations formelles. Ce sera Isabelle Huppert, qui engage ici jusqu’à sa figure d’icône artistique. À travers elle, les foudres du tragique débordent du texte pour se nicher dans les énigmes plastiques et sonores dont regorge ce Bérénice d’un autre genre.

"Comment Wang Fo fut sauvé des eaux" de Marguerite Yourcenar
Lecteur : Dominique FreydefontDans la Chine du Moyen Âge, le vieux peintre Wang-Fô erre de village en village avec pour seul compagnon son disciple, Ling. Un jour où les deux dorment à même le sol dans une auberge, ils sont arrêtés par la milice et emmenés auprès de  l’Empereur. Ce dernier a grandi enfermé et coupé du monde pendant les premières années de sa vie en contemplant à chaque heure les toiles du vieux peintre. Quand il découvre le monde extérieur avec ses propres yeux à l'âge de 16 ans, il constate que celui-ci n'est qu'un pâle reflet des toiles de Wang-Fô et en éprouve un vif ressentiment, car il se trouve incapable de l'aimer tel qu'il est. L'empereur annonce donc au peintre qu'il aura les yeux brûlés et les mains coupées…

"Dans la nuit Mozambique"  de Laurent Gaudé
Lecteur : Armando ALVES - Musique : Traditionnelle portugaiseCette nouvelle s’ouvre sur les rues d’un quartier du port de Lisbonne, un restaurant dans lequel se réunissent quatre bons amis, des anciens marins, tous ou presque, puisque le quatrième, c’est le cuisinier lui-même. Ils se retrouvent périodiquement, selon un rituel bien codifié et la règle est la suivante : chacun doit raconter une histoire. Les narrateurs improvisés nous emmènent jusque sur les côtes du Mozambique, à Maputo la capitale,
véritable joyau, puant. C’est un récit fascinant que nous livre le marinier, trafiquant à ses heures perdues, un récit qui tourne autour de la mort brutale d’une jeune femme qu’il avait accueilli sur son bateau, et il est bien décidé à élucider les circonstances de ce massacre…